
Le monument de l’Armée noireà Fréjus, mémoire des tirailleurs
BRÈVE D'HISTOIRE
Fréjus Var Provence-Alpes-Côte d'Azur

Le pont levant de La Seyne-sur-Mer, un symbole industriel
BRÈVE D'HISTOIRE
1 Quai du 19 Mars 1962 La Seyne-sur-Mer

L’église Notre-Dame-de-l’Assomption : symbole baroque de Saint-Tropez
BRÈVE D'HISTOIRE
Rue Commandant Guichard Saint-Tropez Var

Le cimetière marin de Saint-Tropez
BRÈVE D'HISTOIRE
8 Cimetière Marin de Saint Tropez 8

La place des Lices à Saint-Tropez : entre marché et pétanque
BRÈVE D'HISTOIRE
Trav. des Lices Saint-Tropez Var

La Tour Suffren de Saint-Tropez : témoin millénaire
BRÈVE D'HISTOIRE
1 Pl. Raphaël de Garrezio Saint-Tropez

Le Four des Navettes, la plus ancienne boulangerie de Marseille
BRÈVE D'HISTOIRE
136 Rue Sainte Marseille

Les Consignes sanitaires du Vieux-Port de Marseille
BRÈVE D'HISTOIRE
Av. Vaudoyer Marseille Bouches-du-Rhône

Le marché aux poissons du Vieux-Port de Marseille
BRÈVE D'HISTOIRE
2 Quai du Port Marseille

La Maison Diamantée de Marseille : ancien joyau du moyen-âge
BRÈVE D'HISTOIRE
Rue Fort du Sanctuaire Marseille Bouches-du-Rhône

L’hôtel de Cabre : la plus vieille maison de Marseille
BRÈVE D'HISTOIRE
27 Grand Rue Marseille

Lyons-la-Forêt, refuge d’inspiration pour Ravel
BRÈVE D'HISTOIRE
4 Rue d'Enfer Lyons-la-Forêt

Le quartier général de la Gestapo à Rouen
Après l’occupation de Rouen le 9 juin 1940, la Gestapo installe son quartier général au n° 4 de la rue du Donjon. Redouté des habitants, le bâtiment servait à centraliser l’information, recruter et former des collaborateurs civils, mais aussi à interroger les opposants au régime nazi. Beaucoup y subirent des tortures avant d’être déportés. Le 19 avril 1944, un bombardement allié détruit le bâtiment. Quelques mois plus tard, le 31 août, les troupes canadiennes libèrent Rouen sous les acclamations de la foule.
4 Rue du Donjon Rouen

L’ancre de la Jeanne d’Arc à Rouen
Après 46 ans de service et 79 tours du monde, le navire-école Jeanne d’Arc a quitté Brest en 2014 pour son ultime voyage vers Bordeaux, où il fut démantelé. Rouen, ville marraine, conserva un symbole fort : son ancre, déposée en 2012 à la pointe de l’île Lacroix, où elle reste le témoin immobile de la mémoire du navire et de ses marins.
Rouen Seine-Maritime Normandie

Le musée des Beaux-Arts, un musée révolutionnaire
Créé en 1801 par le décret Chaptal, qui répartissait dans les grandes villes de province les œuvres confisquées pendant la Révolution, le musée des Beaux-Arts de Rouen s’impose vite comme une référence. Dès 1878, on le qualifiait de « plus complet après celui de Paris ». Avec plus de 8 000 œuvres et un cabinet d’arts graphiques de réputation internationale, il reste aujourd’hui l’un des plus grands musées de province.
Esp. Marcel Duchamp Rouen Seine-Maritime

La maison Marrou, vitrine d’un ferronnier de génie
En 1884, le ferronnier Ferdinand Marrou s’installe près de la gare de Rouen pour profiter de l’affluence des voyageurs. Sa maison devient la vitrine de son savoir-faire : une façade qui associe l’élégance du XVIIIᵉ siècle aux lignes modernes de l’Art nouveau, enrichie de vitraux, boiseries et ferronneries spectaculaires. Inscrite monument historique en 1975, elle a longtemps accueilli les services du patrimoine régional.
Rue Verte Rouen Seine-Maritime

Rouen, capitale des maisons à colombages
Avec plus de 2 000 maisons à colombages, Rouen abrite la plus grande collection de France. Ces façades colorées, construites au Moyen Âge, bordent encore les ruelles pavées du centre historique. Chaque maison, avec ses motifs et ses formes variées, témoigne du savoir-faire d’époque et donne à la ville son charme unique, comme un musée vivant d’architecture médiévale.
Rue Martainville Rouen Seine-Maritime

Le dragon Graoully à Metz
La légende raconte qu’un dragon redoutable, le Graoully, terrorisait autrefois la ville de Metz. Ni les flèches ni les armées n’en venaient à bout. Jusqu’au jour où saint Clément, armé de sa seule foi, parvint à l’enchaîner avec son étole et à le chasser hors de la cité. Depuis, le Graoully est devenu l’un des symboles de Metz, encore évoqué dans les processions et les fêtes locales.
Rue Taison Metz Moselle

Quand la Statue de la Liberté quitta Rouen
En mai 1885, la Statue de la Liberté quitte Rouen en 214 caisses contenant 350 pièces, dont 36 réservées aux boulons. Chargée à bord du transport l’Isère en seize jours, elle descend la Seine et fait escale à Caudebec-en-Caux le 21 mai, avant de traverser l’Atlantique. Le 19 juin, elle arrive à New York sous les acclamations.
Rouen Seine-Maritime Normandie

Le plus haut bâtiment du monde
En 1884, Notre-Dame de Rouen reçut une flèche en fonte, une première en France pour une cathédrale. Plus légère et plus résistante que le bois ou la pierre, elle permit d’atteindre 151 mètres de hauteur, faisant de l’édifice le plus haut bâtiment du monde pendant quelques années. Pour les Rouennais, c’était une fierté et un spectacle quotidien : ils suivaient pas à pas l’assemblage de ses imposants éléments métalliques. Aujourd’hui encore, la cathédrale reste la plus haute église de France.
Pl. de la Cathédrale Rouen Seine-Maritime

L’angelot à l’envers du Gros Horloge
Si vous levez les yeux vers la voûte du Gros-Horloge, vous verrez un détail surprenant : un angelot sculpté la tête en bas. La légende raconte qu’un ouvrier mal rémunéré aurait signé ainsi sa vengeance, laissant un discret message de révolte au cœur du monument.
Rue du Gros Horloge Rouen Seine-Maritime

Quand les conards paradaient place du Lieutenant-Aubert
BRÈVE D'HISTOIRE
Pl. du Lieutenant Aubert Rouen Seine-Maritime

Un cadran mythologique
" Sur le Gros-Horloge, les jours ne s’affichaient pas en lettres mais sous les traits des dieux antiques : Mars, Mercure, Vénus… L’horloge indiquait aussi les phases de la Lune et les signes du zodiaque, rappelant que le temps était autrefois inséparable du ciel et de ses symboles. "
Rue du Gros Horloge Rouen Seine-Maritime

Le naufrage du Télémaque
Le 3 janvier 1790, le brick Télémaque sombre en rade de Quillebeuf. Très vite, la rumeur enfle : il aurait transporté les trésors des abbayes de Jumièges et de Saint-Georges-de-Boscherville, voire les joyaux de la Couronne. Deux tentatives de renflouement eurent lieu, dont l’une en 1939 qui permit de remonter quelques pièces d’or et un collier en or, sans jamais retrouver le fameux trésor. Même Jean Cocteau évoqua l’affaire en 1961 dans son Journal. Aujourd’hui, le navire repose sous dix mètres d’alluvions, à l’endroit même où s’élève le stade de football local.
Chem. du Stade Quillebeuf-sur-Seine Eure

Là où Jeanne d’Arc fut vraiment détenue à Rouen
Contrairement à une idée reçue, Jeanne d’Arc n’a jamais été enfermée dans la tour Jeanne d’Arc. Arrêtée en 1431, elle fut détenue dans la prison du château de Philippe Auguste, immense forteresse aux dix tours, dont une cellule se situait à l’emplacement de l’actuel 102 rue Jeanne-d’Arc. La “tour Jeanne d’Arc” n’était en réalité que le donjon, utilisé pour les interrogatoires. Jeanne y fut conduite une fois, mais jamais torturée.
102 Rue Jeanne d'Arc Rouen

Un donjon devenu bunker
Durant la Seconde Guerre mondiale, la tour Jeanne-d’Arc fut camouflée et transformée en bunker par l’armée allemande. Sa partie supérieure fut bétonnée pour résister aux bombardements, modifiant temporairement son aspect médiéval.
Rue du Donjon Rouen Seine-Maritime

1847, un train bénie avant le départ
Le 22 mars 1847, le premier train entre Rouen et Le Havre s’élance depuis la gare de la rue Verte, ancêtre de l’actuelle gare Rive-Droite. L’événement est vécu comme une révolution : pour rassurer les esprits face à ce nouveau monstre de fer, une cérémonie solennelle est organisée. Le convoi reçoit même une bénédiction avant son départ, signe de l’importance symbolique et presque spirituelle du chemin de fer à ses débuts.
Pl. Bernard Tissot Rouen Seine-Maritime

1928, la nouvelle gare inaugurée par Gaston Doumergue
Le 4 juillet 1928, le président de la République Gaston Doumergue inaugure la nouvelle gare de Rouen-Rive-Droite. Avec sa façade monumentale et sa tour-horloge de 37 mètres, l’édifice, d’inspiration Art nouveau tardif, devient aussitôt un repère visuel majeur de la ville. Pour Rouen, cette inauguration marque une entrée dans la modernité, reliant davantage encore la ville à Paris, au Havre et au reste de la Normandie.
Pl. Bernard Tissot Rouen Seine-Maritime

Une tour restaurée par Viollet-le-Duc
Entre 1866 et 1874, la tour fut restaurée par Louis Desmarest, architecte en chef de Rouen, suivant les recommandations de Viollet-le-Duc. La toiture en poivrière et les hourds en bois furent ajoutés à cette époque, donnant à la tour l’aspect que l’on connaît aujourd’hui
Rue du Donjon Rouen Seine-Maritime

Au rythme des cloches du Gros-Horloge
" Bien avant les montres, les habitants de Rouen vivaient au rythme du Gros-Horloge. Ses cloches annonçaient l’ouverture des marchés, les offices religieux et même l’heure du couvre-feu. Passer sous son arche, c’était entendre battre l’agenda de toute la cité. "
Rue du Gros Horloge Rouen Seine-Maritime

Notre-Dame de Caudebec épargnée par les bombes
Le 9 juin 1940, alors que la ville de Caudebec-en-Caux est évacuée, la messe est encore célébrée à l’église Notre-Dame. Les 10 et 11 juin, les bombardements allemands mettent la ville en flammes, mais l’église est miraculeusement épargnée. Ses cloches fondent cependant dans l’incendie : le bronze est dissimulé sous les débris pour éviter qu’il ne serve aux Allemands. L’édifice reste fermé près d’un an, avant de rouvrir en mars 1941.
Pl. du Parvis Rives-en-Seine Seine-Maritime

La maison Perret de Grand-Quevilly
Construite en 1922 par l’architecte Auguste Perret, la maison Perret de Grand-Quevilly est l’une de ses premières réalisations. Destinée aux contremaîtres des Chantiers de Normandie, elle illustre l’usage pionnier du béton et du préfabriqué, dans un confort encore modeste. Inscrite aux monuments historiques depuis 1996, elle a été restaurée et sert aujourd’hui de lieu d’archives et de salle de gestion de crise sur le site du boulevard de Stalingrad.
40 Bd Stalingrad Le Grand-Quevilly

Le château de Bosmelet et les V1 de Hitler
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Henriette Soyer de Bosmelet, propriétaire du château de Bosmelet, cache manuscrits et toiles présents dans sa demeure pour les soustraire aux Allemands. Arrêtée, elle passe deux mois en prison avant de retrouver sa propriété dans un drôle d'état. En effet, dans le parc de son château, s’activent à présent près de 2 000 ouvriers, réquisitionnés de France, de Hollande et de Belgique, venus construire une rampe de lancement de V1 destinée à bombarder Londres. En 1943, le résistant et espion Michel Hollard, dont Churchill dira qu’il « a sauvé Londres », découvre le site et parvient à transmettre le plan des installations allemandes aux Alliés, avant d’être arrêté quelques mois plus tard. En février 1944, l’aviation anglaise et américaine bombarde Bosmelet à 28 reprises : plus de 200 bombes détruisent les installations allemandes, dont la fameuse rampe. Le château est touché, le parc…
Le Bosmelet Val-de-Scie Seine-Maritime

La Couronne, témoin du supplice de Jeanne d’Arc ?
BRÈVE D'HISTOIRE
31 Pl. du Vieux Marché Rouen

La bataille des Ursulines, 1974
BRÈVE D'HISTOIRE
21 Rue des Capucins Rouen

Les trois frères
BRÈVE D'HISTOIRE
32 Rue Sainte-Croix-des-Pelletiers Rouen

Une église naît d’un duel
BRÈVE D'HISTOIRE
24 Rue aux Ours Rouen

Du sanctuaire à la fabrique de plomb
BRÈVE D'HISTOIRE
20 Pl. Martin Luther King Rouen

Une chapelle posée sur la Seine
BRÈVE D'HISTOIRE
20 Pl. Martin Luther King Rouen

Guillaume le Conquérant rend son dernier souffle à Rouen
BRÈVE D'HISTOIRE
Rue Claude Groulard Rouen Seine-Maritime

Une statue sauvée des fourneaux
BRÈVE D'HISTOIRE
Pl. Saint-Clément Rouen Seine-Maritime

Le château à l'origine de la station d'Hardelot
BRÈVE D'HISTOIRE
1 Rue de la Source Condette

Le chemin des Juifs, une route construite par la souffrance
BRÈVE D'HISTOIRE
JHWR+R7 Saint-Étienne-au-Mont Pas-de-Calais

Une statue pour remercier le ciel
BRÈVE D'HISTOIRE
G7PC+Q6G Saint-Laurent-de-Brèvedent Seine-Maritime